1 : Se satisfaire personnellement. Épatez tout le monde et surtout vous-même en apprenant facilement une langue étrangère. Cela tient uniquement à votre propre initiative et votre autodétermination.
2 : Savoir écouter. Pour apprendre une langue il faut commencer par apprendre à l’écouter. De la même manière qu’un enfant apprend à parler en écoutant et en observant son entourage.
3 : S’insérer dans un contexte. Gagnez en assurance et en succès grâce à notre méthode : tout tient au contexte. L’idée est d’apprendre des choses en fonction des situations que l’on va couramment rencontrer. La méthode Assimil se base sur cette astuce, allez sur pour en savoir plus.
4 : « Learn a little and use it a lot, for what is not soon forgotten » (ce qui veut dire: le peu qui est appris n’est pas oublié, à condition d’être souvent employé). Cette idée rejoint le principe “20-80” : pour notre sujet, cela veut dire que si on apprend 20% des mots, on sera en mesure de comprendre 80% de la langue.
5 : Faire des fautes ! On apprend bien plus rapidement en faisant beaucoup de fautes. Errare humanum est, alors n’ayez pas peur du ridicule, et faites en plein ! Plus vous en ferez et plus on vous corrigera, et cela vous permet d’assimiler plus rapidement (à condition de finir par les retenir : pensez aux anglais qui, quoi qu’on leur dise, oublient systématiquement les accords de genre (féminin, masculin, neutre) tellement c’est inhabituel chez eux…)
6 : Se préparer aux habitudes locales. Il y a des choses qu’on devrait toujours apprendre à dire avant de partir à l’étranger. Par exemple si vous allez dans une capitale européenne (Rome, Londres, etc.), n’oubliez pas de savoir dire « on m’a volé mon sac », parce c’est souvent une fois au commissariat qu’on prend conscience que dans certains pays, notre anglais ne suffit pas à être compris. Autre exemple : la première phrase à apprendre avant de partir dans un pays comme la Chine, c’est « c’est trop cher » ; parce qu’en Chine, tout se négocie, et les Chinois, qui ne sont pas nés de la dernière pluie, ont bien cerné tous les profits qu’ils peuvent tirer des touristes. Mais arrêtons là les clichés.
7 : Trouvez les avantages de l’étude d’une langue étrangère. La méthode Assimil est un peu un « confidence-booster » (augmente l’assurance). En 4 mois, on est en mesure de comprendre le b-a-ba de n’importe quelle langue, et si on entretient l’usage de cette langue, en communicant ou en lisant, on est assuré d’épater son monde au quotidien. Après tout, n’importe qui n’est pas capable de parler spontanément avec des étrangers dont on comprend la langue.
8 : Parlez populaire et non pas académique. La prononciation est une des plus grandes difficultés dans l’apprentissage d’une langue étrangère. Souvent, lorsqu’on se contente d’un cours académique on ne comprend rien aux autochtones ; alors commencez par là, même si vous aurez peut être quelques difficultés par la suite à employer un langage correcte. Il faut redire ici le conseil n° 2 : apprenez à écouter avant toute chose, et à force, vous finirez par être capable de prononcer correctement.
9 : Préparez vous culturellement. Chaque pays possède ses habitudes, ses coutumes, ses façons de faire, alors renseignez-vous sur cette culture. Lisez les livres qui parlent de la culture en question, surtout les livres littéraires, qui mettent en scène cette culture qui n’est pas la votre. De cette manière vous serez en mesure de comprendre des choses qui, à première vue, peuvent paraître bizarre pour un étranger.
10 : Préparez vous au pire. C’est souvent une situation d’urgence qui nous fait comprendre la nécessité de connaître la langue du pays dans lequel on vit. Imaginons que vous habitiez en Chine, vous êtes témoin d’un accident qui nécessite une urgence. Les chinois parlent encore peu anglais, alors comment faites vous pour chercher de l’aide ? Autre exemple : on vous accuse visiblement de vol, comment faites vous pour clamer votre innocence ? Accessoirement, connaître la langue permet aussi de comprendre les insultes prononcées à notre égard par les autochtones, alors donnez-vous les moyens de vous défendre !
2 : Savoir écouter. Pour apprendre une langue il faut commencer par apprendre à l’écouter. De la même manière qu’un enfant apprend à parler en écoutant et en observant son entourage.
3 : S’insérer dans un contexte. Gagnez en assurance et en succès grâce à notre méthode : tout tient au contexte. L’idée est d’apprendre des choses en fonction des situations que l’on va couramment rencontrer. La méthode Assimil se base sur cette astuce, allez sur pour en savoir plus.
4 : « Learn a little and use it a lot, for what is not soon forgotten » (ce qui veut dire: le peu qui est appris n’est pas oublié, à condition d’être souvent employé). Cette idée rejoint le principe “20-80” : pour notre sujet, cela veut dire que si on apprend 20% des mots, on sera en mesure de comprendre 80% de la langue.
5 : Faire des fautes ! On apprend bien plus rapidement en faisant beaucoup de fautes. Errare humanum est, alors n’ayez pas peur du ridicule, et faites en plein ! Plus vous en ferez et plus on vous corrigera, et cela vous permet d’assimiler plus rapidement (à condition de finir par les retenir : pensez aux anglais qui, quoi qu’on leur dise, oublient systématiquement les accords de genre (féminin, masculin, neutre) tellement c’est inhabituel chez eux…)
6 : Se préparer aux habitudes locales. Il y a des choses qu’on devrait toujours apprendre à dire avant de partir à l’étranger. Par exemple si vous allez dans une capitale européenne (Rome, Londres, etc.), n’oubliez pas de savoir dire « on m’a volé mon sac », parce c’est souvent une fois au commissariat qu’on prend conscience que dans certains pays, notre anglais ne suffit pas à être compris. Autre exemple : la première phrase à apprendre avant de partir dans un pays comme la Chine, c’est « c’est trop cher » ; parce qu’en Chine, tout se négocie, et les Chinois, qui ne sont pas nés de la dernière pluie, ont bien cerné tous les profits qu’ils peuvent tirer des touristes. Mais arrêtons là les clichés.
7 : Trouvez les avantages de l’étude d’une langue étrangère. La méthode Assimil est un peu un « confidence-booster » (augmente l’assurance). En 4 mois, on est en mesure de comprendre le b-a-ba de n’importe quelle langue, et si on entretient l’usage de cette langue, en communicant ou en lisant, on est assuré d’épater son monde au quotidien. Après tout, n’importe qui n’est pas capable de parler spontanément avec des étrangers dont on comprend la langue.
8 : Parlez populaire et non pas académique. La prononciation est une des plus grandes difficultés dans l’apprentissage d’une langue étrangère. Souvent, lorsqu’on se contente d’un cours académique on ne comprend rien aux autochtones ; alors commencez par là, même si vous aurez peut être quelques difficultés par la suite à employer un langage correcte. Il faut redire ici le conseil n° 2 : apprenez à écouter avant toute chose, et à force, vous finirez par être capable de prononcer correctement.
9 : Préparez vous culturellement. Chaque pays possède ses habitudes, ses coutumes, ses façons de faire, alors renseignez-vous sur cette culture. Lisez les livres qui parlent de la culture en question, surtout les livres littéraires, qui mettent en scène cette culture qui n’est pas la votre. De cette manière vous serez en mesure de comprendre des choses qui, à première vue, peuvent paraître bizarre pour un étranger.
10 : Préparez vous au pire. C’est souvent une situation d’urgence qui nous fait comprendre la nécessité de connaître la langue du pays dans lequel on vit. Imaginons que vous habitiez en Chine, vous êtes témoin d’un accident qui nécessite une urgence. Les chinois parlent encore peu anglais, alors comment faites vous pour chercher de l’aide ? Autre exemple : on vous accuse visiblement de vol, comment faites vous pour clamer votre innocence ? Accessoirement, connaître la langue permet aussi de comprendre les insultes prononcées à notre égard par les autochtones, alors donnez-vous les moyens de vous défendre !