Assalamo 3alaykom wa rahmatu llahi wa barakatuh
http://www.imf.org/external/pubs/ft/scr/2005/fra/cr05298f.pdf Voici le 2ème lien sur la stratégie Maroc 2030
http://www.hcp.ma/pubData/Prospective/Pub/FinancepubliqueTounsi.pdf
RESUME ANALYTIQUE
Le présent rapport évalue les pratiques en matière de transparence des finances publiques du Maroc au regard du Code de bonnes pratiques en matière de transparence des finances publiques du FMI, sur la base des entretiens avec les autorités et avec d’autres interlocuteurs, des réponses des autorités au questionnaire du FMI sur la transparence des finances publiques, ainsi que d’autres sources d’information. On trouvera dans le Manuel sur la transparence des finances publiques du FMI (http://www.imf.org/external/np/fad/trans/manual) de plus amples explications sur les termes et concepts abordés dans le présent rapport.
Le système de gestion des finances publiques marocaines, qui reste fortement centralisé et centré sur un contrôle strict de la régularité de la dépense, bénéficie d’un niveau élevé de fiabilité et de sécurité juridique, et permet une maîtrise des évolutions budgétaires. La réforme fondamentale de la loi organique relative aux lois de finances intervenue en Novembre 1998, les dispositions législatives et réglementaires qui l’ont accompagnée, ainsi que les réformes récentes se sont traduites par des avancées importantes en matière de clarté des normes budgétaires et comptables, d’accessibilité de l’information financière, de maîtrise des processus de préparation et d’exécution de la dépense et de qualité des données financières. Sous l’effet de ces transformations, la transparence des finances publiques est aujourd’hui, pour l’essentiel, assurée. Toutefois, malgré une situation globalement satisfaisante, des progrès restent à accomplir dans plusieurs domaines pour que les finances publiques marocaines soient gérées dans des conditions de transparence conformes aux meilleures pratiques internationales. Les améliorations prioritaires, et qui peuvent être accomplies à court terme, concernent l’élargissement progressif de la couverture du suivi des opérations budgétaires au secteur des administrations publiques, la modernisation de la comptabilité de l’Etat, l’amélioration de l’information financière en cours d’exécution de la loi de finances et l’évaluation des risques associés aux finances publiques. Les réformes qui devront s’étaler sur un plus long terme devraient porter sur l’introduction d’une gestion publique axée sur la performance et un allégement des contrôles a priori alliés à un renforcement de l’évaluation et des contrôles a posteriori.
Voici le rapport de la transparences des Finances Publiques Maroc Selon le "Haut Commissariat au Plan"
Voici lien en PDF:http://www.imf.org/external/pubs/ft/scr/2005/fra/cr05298f.pdf Voici le 2ème lien sur la stratégie Maroc 2030
http://www.hcp.ma/pubData/Prospective/Pub/FinancepubliqueTounsi.pdf
RESUME ANALYTIQUE
Le présent rapport évalue les pratiques en matière de transparence des finances publiques du Maroc au regard du Code de bonnes pratiques en matière de transparence des finances publiques du FMI, sur la base des entretiens avec les autorités et avec d’autres interlocuteurs, des réponses des autorités au questionnaire du FMI sur la transparence des finances publiques, ainsi que d’autres sources d’information. On trouvera dans le Manuel sur la transparence des finances publiques du FMI (http://www.imf.org/external/np/fad/trans/manual) de plus amples explications sur les termes et concepts abordés dans le présent rapport.
Le système de gestion des finances publiques marocaines, qui reste fortement centralisé et centré sur un contrôle strict de la régularité de la dépense, bénéficie d’un niveau élevé de fiabilité et de sécurité juridique, et permet une maîtrise des évolutions budgétaires. La réforme fondamentale de la loi organique relative aux lois de finances intervenue en Novembre 1998, les dispositions législatives et réglementaires qui l’ont accompagnée, ainsi que les réformes récentes se sont traduites par des avancées importantes en matière de clarté des normes budgétaires et comptables, d’accessibilité de l’information financière, de maîtrise des processus de préparation et d’exécution de la dépense et de qualité des données financières. Sous l’effet de ces transformations, la transparence des finances publiques est aujourd’hui, pour l’essentiel, assurée. Toutefois, malgré une situation globalement satisfaisante, des progrès restent à accomplir dans plusieurs domaines pour que les finances publiques marocaines soient gérées dans des conditions de transparence conformes aux meilleures pratiques internationales. Les améliorations prioritaires, et qui peuvent être accomplies à court terme, concernent l’élargissement progressif de la couverture du suivi des opérations budgétaires au secteur des administrations publiques, la modernisation de la comptabilité de l’Etat, l’amélioration de l’information financière en cours d’exécution de la loi de finances et l’évaluation des risques associés aux finances publiques. Les réformes qui devront s’étaler sur un plus long terme devraient porter sur l’introduction d’une gestion publique axée sur la performance et un allégement des contrôles a priori alliés à un renforcement de l’évaluation et des contrôles a posteriori.